J’ai tardé à chroniquer cet album car je ne savais pas par quel bout commencer, comment en parler…

En effet, que dire lorsqu’un groupe aussi mythique que Dead Can Dance, qu’on croyait séparé pour de bon, annonce après 16 ans de silence un nouvel opus ? C’était beaucoup d’attente, l’envie d’en écouter davantage, et la hâte de retrouver des artistes qui m’ont tant marquée, qui m’accompagnent depuis des années maintenant ! Mais aussi la peur d’être déçue…

Cette chronique sera donc assez brève, car j’aime trop Dead Can Dance pour entrer dans le « j’aime-j’aime pas », tout simplement. J’ai été déroutée par le premier morceau, puis le déclic a bien eu lieu et je suis entrée dans cet album comme dans les autres… car je crois que leur musique est pour moi au-delà des étiquettes, des genres. Anastasis, du grec résurrection, est bien nommé !

J’ai adoré retrouver les voix de Brendan Perry et Lisa Gerrard, et j’ai réalisé qu’elles m’avaient encore plus manqué que je ne le pensais… Alors pour cette fois je n’ai pas envie d’entrer dans les détails, dans l’analyse : pour moi leur musique est toujours aussi belle, leur son est unique,  et la magie de leur duo est toujours là 🙂 C’est Dead Can Dance, tout simplement…

A vous de voir si la magie opère toujours pour vous aussi ?

Il est possible d’écouter l’album en ligne, et je vous rappelle que 3 nouvelles dates de concert sont annoncées en 2013…

Anastasis Dead Can Dance